Sergueï A. Mendev

« Bonjour !
Je m'appelle Sergueï Alekseï. Mendev et l'on me surnomme Sergueï. Je suis né le 25 juin 1982 à Moscou, ce qui me fait 33 ans. Je suis un humain pur. . Je suis Gay et actuellement Célibataire. Mon principal défaut est d'être incapable d'exprimer mes sentiments. et ma qualité majeure est que je très protecteur. »

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Minimum 5 lignes D'apparence athlétique, il n'est pourtant pas fan de sport, sa carrure lui vient naturellement, surement à force de travailler. Il n'a pourtant pas toujours était comme ça. En effet, plus jeune, c'était un enfant plutôt enrobé et mal dans sa peau. Il mesure aujourd'hui 1m83 pour 79 kg. C'est cheveux sont châtains clair et ses yeux bleus, ils sont très expressifs lorsqu'il ne cache pas les émotions qui le traverse. Il sait mettre en valeur son corps avec des vêtements qui lui vont à merveille. Toujours bien habillé et impeccablement peigné, il fait attention à l'image qu'il donne de lui aux autres.    

Minimum 5 lignes ATTENTIONS pour les élèves veuillez respecter les caractéristiques de votre maison
Segueï, bien qu’étant un être méprisant tout effort physique depuis toujours, n’en reste pas moins quelqu’un de sérieux et studieux. Contrairement à sa cadette qui abandonnait vite ce qui ne présentait rien d’intéressant à ses yeux, l’aîné de la famille, bien que parfois ennuyé, ne laissait jamais un devoir terminé ou incompris. Cette attitude se ressent encore dans sa vie, bien que peu de choses osent s’opposer au cerveau de Mendev. Car oui, Sergueï Mendev est intelligent et attentif aux moindres détails environnants. Mais il préférerait plutôt faire croire qu’il a tord plutôt que de devoir prouver que ce qu’il a dit est vrai.

Peu de monde ne contredis Mr Mendev. Car, derrière son omniprésent masque sérieux, calme et mystérieux se cache un être effrayant. Certains purent le constater lorsque, osant contredire le russse, un homme croisa un regard aussi dur et glacial qu’une pointe de lance. Aucun nouveau mot n’osa sortir de sa gorge, et l’aîné des Mendev quitta la place l’instant même. Le respect est ainsi quelque chose qu’il réussit à gagner au fils des années.

Sergueï sait reconnaître les diverses émotions le traversant, mais le problème  : il ne peut les dévoiler. Il lui est impossible de montrer ses sentiments. Incapacité surement apparu lors de son enfance ; quel enfant ne sortirait pas traumatisé de moqueries de dizaines et dizaines d’enfant à propos de son poids ? Détails, soit dit en passant, toujours très délicat, et ce même s’il ne laisse rien transparaître. Et, même si sa sœur est la seule à toujours lui lancer des piques à ce sujet, elle n’en reste pas moins l’être le plus important à ses yeux.

Malgré son quotidien plus qu’épuisant, Sergueï trouve toujours un moment pour s’occuper à son pêcher mignon ( autre que manger, un de ses plus gros défauts ) : la musique. Et quel autre meilleur instrument que le piano pour un fainéant tel que l’aîné de la famille Mendev ? Virtuose dans cet instrument, il y trouve un effet apaisant et à la fois stimulant pour son esprit. Autrefois, il n’était pas rare d’entendre les notes s’écouler du piano. Une mélodie digne des plus grands musiciens s’échappait alors de la maison, et chaque passant ne pouvait s’empêcher de tourner la tête en direction des fenêtres d’où s’échappait ce son joué par des anges.

Néanmoins, si quelqu'un était capable de brisé la glace qui enveloppe le cœur de l'homme, trop inquiet à l'idée de souffrir et de perdre ses proches, C'est un homme incroyablement aimant et doux que l'on découvrirait. En effet, si la peur du rejet et de la perte d'un être cher le pousse à être aussi glacial qu'un rude hiver en antarctique, il est au fond sensible, soucieux des gens qui l'entoure et très protecteur.  Ce n'est certes pas quelqu'un de violent, mais il peut s'emporter très vite.
Paradoxalement, dès qu'il s'agit de relations plus intimes et charnelles, c'est un homme plutôt soumis qui s'affiche, il n'est pas entreprenant pour deux sous.

Minimum 15 lignes Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat. Nec huic publico, ut opinantur, malo turba tantum et imprudens uulgus ingemuit; clarorum quoque uirorum hic affectus querellas euocauit. Inde illa maximi medicorum exclamatio est: "uitam breuem esse, longam artem". Inde Aristotelis cum rerum natura exigentis minime conueniens sapienti uiro lis: "aetatis illam animalibus tantum indulsisse, ut quina aut dena saecula educerent, homini in tam multa ac magna genito tanto citeriorem terminum stare." Non exiguum temporis habemus, sed multum perdidimus. Satis longa uita et in maximarum rerum consummationem large data est, si tota bene collocaretur; sed ubi per luxum ac neglegentiam diffluit, ubi nulli bonae rei impenditur, ultima demum necessitate cogente, quam ire non intelleximus transisse sentimus. Ita est: non accipimus breuem uitam sed fecimus, nec inopes eius sed prodigi sumus. Sicut amplae et regiae opes, ubi ad malum dominum peruenerunt, momento dissipantur, at quamuis modicae, si bono custodi traditae sunt, usu crescunt: ita aetas nostra bene disponenti multum patet. Quid de rerum natura querimur? Illa se benigne gessit: uita, si uti scias, longa est. At alium insatiabilis tenet auaritia; alium in superuacuis laboribus operosa sedulitas; alius uino madet, alius inertia torpet; alium defetigat ex alienis iudiciis suspensa semper ambitio, alium mercandi praeceps cupiditas circa omnis terras, omnia maria spe lucri ducit; quosdam torquet cupido militiae numquam non aut alienis periculis intentos aut suis anxios; sunt quos ingratus superiorum cultus uoluntaria seruitute consumat; multos aut affectatio alienae formae aut suae querella detinuit; plerosque nihil certum sequentis uaga et inconstans et sibi displicens leuitas per noua consilia iactauit; quibusdam nihil quo cursum derigant placet, sed marcentis oscitantisque fata deprendunt, adeo ut quod apud maximum poetarum more oraculi dictum est uerum esse non dubitem: Exigua pars est uitae qua uiuimus. Ceterum quidem omne spatium non uita sed tempus est.